N'a-t-il pas déjà été écrit: "Demandez et vous recevrez" ? Alors moi je passe à l'action ! Si vous avez le goût de me suivre, ensemble nous pouvons partager les trucs et les conseils capables de nous aider à faire de nos rêves, notre réalité. Pour moi, le processus de "Demandez et vous recevrez" me fait beaucoup penser à une partie de golf...
Quand je pense à « Demandez et vous recevrez », je vois une balle de golf s’envoler et filer à toute allure vers le green pour finir sa course dans le trou! « Yes! » Le golfeur c’est moi et la balle, c’est ma demande qui file en ligne droite vers sa réalisation.
Belle métaphore n’est-ce pas ? Mais je dois avouer que ce n’est pas vraiment ce que je vis. J’ai plus souvent l’impression de frapper dans le vide que sur
Et si la vie était comme une partie de golf ?
Comme sur le green
Par définition, le golf est un sport consistant à faire progresser une balle sur un terrain, appelé parcours, en un minimum de coups. La vie ressemble très souvent à un sport, parfois extrême, consistant à faire progresser un être humain sur un terrain, appelé parcours de vie, en un minimum de coups… durs! Dans un cas comme dans l’autre, l’adversaire n’est nul autre que nous-même. Nous sommes à la fois notre pire ennemi et notre seule planche de salut !
Étudier le parcours, définir une stratégie
Un bon golfeur ne se contente pas de frapper une balle. Il prend le temps d’étudier l’objectif qu’il veut atteindre pour ensuite établir sa stratégie : bâton, position, force de frappe, etc. Même chose pour nous. Il ne suffit pas de demander pour recevoir. Notre demande doit être précisée dans ses moindres détails : qu’est-ce que je veux au juste, pourquoi, quand, etc. Puis, on établit notre stratégie : choses à faire, gens à contacter, étapes à suivre, etc.
Je ne connais aucun golfeur capable de faire léviter sa balle par la simple force de sa pensée. Une fois la stratégie établie, il doit passer à l’action ! On aura beau élaborer les plus beaux projets, nourrir les plus beaux espoirs, si on ne fait rien, il ne se passera rien. Pour activer les rouages de la matérialisation, il faut se mettre en mouvement, poser des gestes, être attentif et prêt à réagir aux coïncidences qui vont surgir sur notre parcours.
Faire « Un » avec le mouvement
Bien qu’il soit conscient qu’une bonne distance le sépare de son objectif, la seule chose qui intéresse dorénavant le joueur se trouve là, juste sous son nez. Il oublie le green et concentre toute son attention sur le coup à frapper. Totalement centré, il ne fait qu’un avec le mouvement. Il devient le mouvement. Dans une confiance absolue, il frappe la balle en sachant qu’il a fait le maximum. Puis, il lâche prise. Lorsque notre demande s’est envolée dans l’univers de tous les possibles, on doit lâcher prise et faire confiance en l’intelligence de la vie en ayant la certitude que tout ce qui est à venir sera parfait, même les obstacles…
Quand l’obstacle apparaît, le jeu commence
Le golfeur connaît bien les bunkers, ces trappes de sables dont le seul but est de « pimenter » le jeu. Une fois la balle bien enlisée, deux choix s’offrent à lui : se lamenter sur son pauvre sort ou choisir le fer dont l’ouverture va lui permettre de sortir du pétrin. Nos parcours de vie sont aussi garnis d’obstacles dont les plus pimentés sont souvent ceux que nous installons nous-mêmes : les doutes, les « Oui mais… », les « Je ne mérite pas… », « J’ai peur de… », viennent subtilement mais sûrement saboter nos efforts pour ne pas dire les réduire à néant. Nous devons avoir la bonne ouverture… d’esprit ! En étant vigilant, il est possible de démasquer ces intrus pour les réduire au silence et devenir de vrais Tiger Woods de la demande !
La partie va commencer !
Comme l’action est un ingrédient essentiel au processus de matérialisation, que diriez-vous de frapper quelques balles ? Je vous invite à participer au tournoi « Demandez et vous recevrez géant… » ! Ensemble, nous allons faire ce qu’il faut pour gagner le Grand Chelem ?
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